Regain, c’est une revanche contre la fatalité … l’histoire d’un village presque désert qui va renaître à la vie. C’est en 1930 que Jean GIONO publie ce roman qu’il situe bien évidemment dans cette Haute Provence qu’il aime tant.
Il y place des personnages comme il les aime, des êtres façonnés par la nature qui les entoure, sauvages, durs au mal
mais aussi fiers, solidaires et fidèles. Chacune des scènes du roman déclenche des émotions authentiques. C’est à la recherche de ces émotions que sont allées l’adaptation et la mise en scène, toutes deux réalisées par Alain QUINTANE (qui avait déjà adapté « La Femme du Boulanger » du même auteur).
La belle langue de GIONO court sur la scène pendant un peu plus d’une heure et les comédiens se glissent dans la peau des Panturle, Arsule et autres Gédémus pour amener le spectateur là-haut, sur ce plateau d’Aubignane … où la belle lumière de la Provence éclaire parfois cruellement la vie des hommes et des femmes.
Il y place des personnages comme il les aime, des êtres façonnés par la nature qui les entoure, sauvages, durs au mal
mais aussi fiers, solidaires et fidèles. Chacune des scènes du roman déclenche des émotions authentiques. C’est à la recherche de ces émotions que sont allées l’adaptation et la mise en scène, toutes deux réalisées par Alain QUINTANE (qui avait déjà adapté « La Femme du Boulanger » du même auteur).
La belle langue de GIONO court sur la scène pendant un peu plus d’une heure et les comédiens se glissent dans la peau des Panturle, Arsule et autres Gédémus pour amener le spectateur là-haut, sur ce plateau d’Aubignane … où la belle lumière de la Provence éclaire parfois cruellement la vie des hommes et des femmes.
