L'HISTOIRE :

Mylva, une grande fille à la dérision en bandoulière, se balade dans l’existence.
Elle rêve, elle rit, elle égratigne, elle aime, elle se bat contre…tout ce qui bouge !
Puisant son inspiration chez notre voisin, notre cousine, ou votre belle-mère, Mylva nous invite dans un monde de doux dingues, avec, “ en cas de malheur ”, son arme préférée : l’humour !
Grandir…quelle aventure ! Dans une ambiance légère, un parfum d’Andalousie, un air de mélancolie mêlé à des éclats de rire, … Mylva jongle avec les bons mots, contorsionne les idées reçues, et piège le qu’en dira-t-on au lasso de sa fantaisie.
Elle rêve, elle rit, elle égratigne, elle aime, elle se bat contre…tout ce qui bouge !
Puisant son inspiration chez notre voisin, notre cousine, ou votre belle-mère, Mylva nous invite dans un monde de doux dingues, avec, “ en cas de malheur ”, son arme préférée : l’humour !
Grandir…quelle aventure ! Dans une ambiance légère, un parfum d’Andalousie, un air de mélancolie mêlé à des éclats de rire, … Mylva jongle avec les bons mots, contorsionne les idées reçues, et piège le qu’en dira-t-on au lasso de sa fantaisie.
LA PRESSE :
“ Du rire aux larmes, du rêve au quotidien, Mylva se désincarne au gré de son humeur. ”
L’Indépendant le 16/06/05
“ Accrochez-vous aux rideaux. Car sous un air naïf enrobé d’humilité, Mylva décape nos comportements, nos petites histoires, nos mesquineries quotidiennes, notre intolérance, voire nos frustrations….avec une écriture de proximité qui frise l’hyperréalisme, un comportement sur scène et des intonations plus vraies que nature. Et une sacrée présence…
Midi Libre le 26/08/05
…Un excellent moment de théâtre, sans prétention mais avec cœur et professionnalisme, comme on aimerait en voir plus souvent. ”
Midi Libre le 26/08/05
“ Du rire aux larmes, du rêve au quotidien, Mylva se désincarne au gré de son humeur. ”
L’indépendant le 02/11/06
“ Etre à la fois seule et multiple, ingénue et rombière, passer du rire aux larmes, de la connerie au sublime, de la parole au silence, du noir à la lumière…qui une fois dans sa vie, n’a jamais rêvé d’être caméléon, ne serait-ce que l’espace d’un soir ? ….
L’indépendant le 02/11/06
La qualité de l’écriture, la justesse du ton et la finesse des caractères permettent à tous de reconnaître une parente, une amie, une voisine…Ces femmes que nous croisons sans vraiment les voir, Mylène les transforme en personnages de théâtre , créatures criantes de vérité, désopilantes de naturel, désarmantes de drôlerie, mais au-delà du caustique et de la dérision, on sent percer, pour chacune des héroïnes, une profonde tendresse. ”
L’indépendant le 02/11/06